LE CLUB DE HOCKEY
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LA FOIS DES SWANISHS

14/3/2019

 
Samedi 2 et 9 mars 2019
Matchs 48 à 50 de la 17e saison et matchs 1 à 5 de la 18e saison
Par Julien Corriveau

FIN DE LA 17e SAISON

Certaines saisons sont interminables, d'autres passent trop vite. Dans la première catégorie on retrouve l'hiver, L'heure est grave et l'hiver. Mais dans la catégorie des saisons qui passent trop vite, la 17e saison du CDH occupe une place enviable. En effet, c'est dans la joie et les célébrations que la 17e saison du CDH a pris fin ce 2 mars 2019. Une date qui restera gravée dans nos mémoires grâce à l'exploit extraordinaire de Vif d'esprit Lebrun (l'enfant prodigue), qui a marqué son 1000e point en carrière. Porté vers les cieux par ses camarades, Vif a prouvé à tous qu'il n'était pas encore trop vieux pour exceller au hockey (malgré ce qu'on disait dans son dos). Cette fin de saison, bénie par la présence de la plus jeune recrue du CDH, Léo "Swanish au beurre" Éthier, a connu son lot de moments magiques, trop nombreux pour les nommer ou même s'en souvenir. Bref, longue vie au CDH et mort rapide à nos vieilles pads.

​Étoile du jour: Malgré un cardio défaillant annonçant le pire, Vif d'esprit est entré dans le Panthéon des pucks en marquant son 1000e point en carrière. BRAVO. Déception du jour: Tous les autres joueurs. Les belles performances défensives de certains n'excusent pas les faibles résultats offensifs de tous. 2-1??? Coudonc, on est-tu dans la LNH???

DÉBUT DE LA 18e SAISON

Alcool. Pot. Films de cul. Le CDH est majeur et peut maintenant profiter des plaisirs illicites qui occupent les journées de Julien. Si ce n’était de l’adorable présence de Léo, le gymnase aurait probablement viré en rave. La 18e saison du CDH a donc démarré sur les chapeaux de roux, comme on dit, avec du beau hockey propre et drôle représentant l’avenir du sport. Dans ces joutes âprement disputées, les gardiens, intimidés par les nouvelles pads, ont accordé des buts comme on accorde une guitare Squier, c’est-à-dire souvent. Dans un revers de fortune digne des plus grandes tragédies grecques, les mêmes équipes se sont affrontées deux fois de suite dans deux matchs aux allures complètement différentes. Albert Einstein a déjà dit que la folie, c’était de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent. C’est donc prouvé, le CDH, c’est une vraie gang de fous!!!!!!!!!! 😉

Étoile du jour: Avec ses 10 points, dont un tour du chapeau, L’Échapelle a encore une fois prouvé qu’on peut être bon au hockey sans être désagréable comme Éthier. Félicitations quand même à Roquette pour son trop rare tour du chapeau, une réussite qu'il a célébrée à sa façon : en buvant seul. Déception du jour: Généreux sur les passes mais timide sur les buts, Pic-Nic Krief est frappé de plein fouet par la dépression saisonnière. On lui décerne tout de même l'Étoile de la Marcmobile grâce à son excellent questionnaire pour Éléonore, comprenant des questions telles que: «Si t’étais un camion, quel sandwich (swanish) serait-tu?» et «Si t’étais un sandwich froid, tu serais quel sandwich chaud?».
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LA FOIS SANS GOUROU

28/11/2018

 
Samedi 24 novembre 2018
Matchs 32 à 35 de la 17e saison
Par Raphaël Martin

Du gros fun ces deux dernières semaines, mais particulièrement ce samedi, alors que l'anarchie regagnait le CDH en l'absence de son gourou Riverdance Éthier et de sa tendre moitié, la psycho-rigidité. Chronos approximatifs, stats rentrées à peu près par un peu tout le monde de manière émotive et confuse, mais surtout Broadway Martin qui avait la canisse d'énergie fendue ben raide parce qu'il s'était couché sans souper la veille; des discussions sociologiques autour de M... M... et de la graine mineure d'Arnaud; Roquette Corriveau en tabarnak de ne pouvoir conclure l'acquisition d'un Powerade; une complicité nouvelle née entre ledit Roquette et Bubert suite à une discussion codée dans le char; le souffle dudit Bubert sur la nuque de tous les estis de joueurs en même temps tellement qu'il court vite; une couple de tabarniks de shots de St-Laurent right on dans l'enfer du mal; Triforce Montplaisir, défensif, qui en mange une couple dans la boête à fiouses; des supputations quant au départ de Vif d'esprit du CDH, à suivre; l'abnégation douteuse de L'échapelle quant au pognage de sa graine par M... M...; un petit bâton de goaler pogné dans son net (c'est drôle en crisse quand ça arrive); Bubert, encore, qui décide de conclure une joute en garnottant une belle shot direct dans le masque de son propre gardien, Broadway Martin. Du gros fun.

Étoile du jour: Pugnace Dupuis. Bravo pour ton déménagement mon homme. Tu mérites le bonheur. Déception du jour: Broadway Martin. Pris dans le tourbillon d'une séquence de marde. S'en sortira-t-il ? Pense pas.

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LA FOIS OÙ ON A COMPENSÉ

5/11/2018

 
Samedi 3 novembre 2018
Matchs 24 à 27 de la 17e saison
Par Julien Corriveau

Compenser. Compenser. COMPENSER. Voici une devise qu'on n'est pas prêt d'oublier de si tôt éventuellement. Les joueurs du CDH ont compensé comme de véritables compensateurs, offrant remontées inattendues, fusillades enlevantes et tours du chapeau bienvenus, gracieuseté de Butcher, L'Échappelle, Riverdance et But-Bert (surnom en attente). Belles performances de Morel et Martin, dont le col en V mauve était plus plongeant qu'Alexandre Despatie. Malgré une belle performance de la recrue Bathurst, son manque flagrant d'esprit sportif (il m'a dit que mes souliers étaient détachés mais c'était pas vrai c'était juste pour que je regarde) compromettent sérieusement son avenir.

Étoile du jour: Le Rigoaleur Provençal, qui a marqué à chaque match en plus d'offrir deux victoires à son équipe avec ses jambières défectueuses. Déception du jour: Krief, n'ayant marqué aucun but et perdu à deux reprises devant le filet, est visiblement et sans surprise affecté par la dépression saisonnière. Vitamine D et exercices quotidiens devraient le sortir de sa torpeur automnale et lui permettre de regagner sa torpeur de base.
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LA FOIS AVANT PÂQUES

5/4/2018

 
Samedi 31 mars 2018
Matchs 34 à 37 de la 16e saison
Par Julien Corriveau

L’avenir du Festival Juste pour Rire étant incertain, le CDH a décidé de reprendre à son compte la fameuse Parade des jumeaux en accueillant dans ses rangs Étienne Théberge et la recrue Raphaël Thibodeau pour créer deux duos de jumeaux: les Raphaëls et les Étiennes. Unis par les liens sacrés du prénom, nos quatre comparses ont offert des performances en dents de scie, comme le veut la tradition du CDH. Théberge, efficace à l’attaque, a évité de peu le Fafard lors de ses deux premières présences à vie devant le filet. Thibodeau, sans doute le fils illégitime de mon oncle Roger Thibodeau, a montré de quel bois il se chauffait (de l’érable?) en offrant une performance digne de Jésus. CAR OUI, C’ÉTAIT LA VEILLE DE PÂQUES. Et le Christ, ricanant dans son tombeau en pensant à la face de Pierre quand il lui ressusciterait dans la face, a oublié de bénir le trio maudit Krief-Corriveau-Soly qui, rassemblés quatre fois plutôt qu’une en ce samedi saint, ont offert quatre défaites lamentables, de véritables chemins de croix menant directement à la mort du plaisir. «Père, pardonne-leur car ils ne savent pas jouer au hockey», voilà ce qu’en a pensé Jésus, notre «sauveur». Mais c’est quand même la saison d’Arnaud, ne l’oublions pas.

Étoiles du jour: St-Laurent, qui a amassé 13 points en 4 matchs, dont un match de 5 buts. Remplacez le mot «point» par «grand-père dans le sirop», et voilà tout un festin du temps des sucres! Caron-Guay se mérite aussi les honneurs avec ses deux tours du chapeau (sauvant Henri-Henri de la faillite) et ses deux victoires devant les buts. Une performance que Dieu lui-même a qualifiée de «super nice». Déceptions du jour: Soly, Krief et Corriveau, avec leurs moyennes de 1 point par match, font de leur léthargie une véritable liturgie en ce jour béni, célébrant une messe morbide aux allures de Requiem. GARE AU DIVIN COURROUX! Espérons que le retour du beau temps insufflera à ces jeunes désoeuvrés une nouvelle vigueur.

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LA FOIS OÙ Y AVAIT 1000 RECRUES.

30/3/2018

 
Samedis 17 et 24 mars 2018
Matchs 26 à 33 de la 16e saison
Par Yannick Éthier

17 mars
Encore une fois en déséquilibre total niveau hommes-femmes (exacerbé par l'absence des androgynes Corriveau et Morel), le Club de hockey n'a pas eu le choix d'inviter une nouvelle recrue pour gonfler ses rangs chroniquement dégarnis. Le bien barbu Théberge a donc fait ses premiers pas au CDH, premiers pas qui l'ont tellement brûlé qu'il a dû s'assoir et jouer par terre en glissant sur les foufounes pour le reste de la game. Mais le grand gaillard a quand même bien fait autant à l'attaque qu'en défense, comme le prouve le goût de métal qu'il a eu dans la bouche pendant une semaine, signe d'une belle carrière jalonnée de succès et/ou d'une crise cardiaque majeure.

Étoile du jour: St-Laurent, qui a travaillé fort pour prouver à son ami Théberge qu'il n'était pas un pied de céleri, amassant 5 buts, 2 passes et 2 victoires de goaleur. Déception du jour: les deux bozos de Châteaubriand, qui ont cru (à tort) que c'était une bonne idée de flusher le CDH pour aller grattouiller la guitare et «chanter» en studio.


24 mars
Toujours en manque de joueurs, le CDH a accueilli pas une, pas deux, pas trois, pas quatre (LOL je niaise, c'était trois) recrues lors d'un seul et même jour de joutes, égalant un record datant du tout début de la 3e saison, le 7 octobre 2010, soirée inoubliable qui avait marqué le début de carrière des légendaires Dupuis, Cordeau et Vertefeuille. Ont donc fait leur entrée les joueurs Gaudet-Savard et Dufour-Larouche, venus défier Mercier-Boucher au chapitre des noms de famille qui rentrent quasiment pas dans mon ficher Excel, et la joueuse Coppola, petite-fille illégitime de Francis Ford, cousine éloignée en crisse de Sofia et soeur (ou pas) d'Alexandre Coppola, un gars de mon primaire qui avait beaucoup de Lego. Les talents de passeur/passeuse de Dufour-Larouche et Coppola, ainsi que les habiletés all-around du célèbre Dadais, ont permis aux joueurs du CDH d'oublier la faible qualité des recrues récentes (oups c'est chien pour Théberge mais mon ordi est bogué pis je peux pas effacer).

Étoiles du jour: Morel et Martin, qui sont allés chercher derrière un rideau, avec un timing parfait, les vieilles pads blanches de Broadway transformées pour l'occasion (la fête de Pugnace) en tiramisu à moitié congelé. Déception du jour: j'ai envie de dire Châteaubriand encore, mais je vais dire Krief, qui a été blanchi 2 fois sur 4 en plus de pu vouloir qu'on entrepose le stock chez lui.

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